En relisant ta lettre, je m'aperçois que l'orthographe et toi, ça fait deux.
C'est toi que j'aime, ne prends qu'un M, par-dessus tout.
Ne me *** point, il en manque un, que tu t'en fous.
Je t'en supplie, point sur lui, fais-moi confiance.
Je suis l'esclave, sans accent grave, des apparences.
C'est ridicule, c'est majuscule, c'était si bien.
Tout ça m'affecte, ça c'est correct, au plus haut point.
Si tu renonces, comme ça se prononce, à m'écouter, avec la vie,
comme ça s'écrit, j'en finirais.
Pour me garder, ne prends qu'un D, tant de rancunes.
T'as pas de cœur, y'a pas d'erreur, là, y'en a une.
J'en mourirais, n'est pas français, ne comprends-tu pas ?
Ce sera ta faute, ce sera ta faute, là, y'en a pas.
Moi j'te signale, que Gardenal, ne prend pas deux.
Mais n'en prends qu'un, caché au moins, n'en prends pas deux.
Ça t'calmera, et tu verras, tout retombe à l'eau.
Le cafard les pleure, les peines de cœur, aux oeufs dans l'eau.