Je vais tous les enculés secs, sauf les légendes du Québec
Je laisse mes restants sur tes fesses, pas besoin d'exemples purs et nets
Et j'aime vraiment fumer de l'herbe, mais tu me déranges, tu m'énerves
Jamais je vais censurer de texte, j'ai du vrai sang sur les lèvres
Ok, je n'attendrai pas que mon corps se teste, balance une lignée genre Scorsese
Avance les fleurs sur le cortège, je suis dans l'élément comme Corben
Je n'ouvre plus la porte à la visite, ici ce que tu vois blanc est encore beige
Je déteste celui qui ne finit, ce qu'il ***, poli le diamant comme un or, c'est faible
Je crois que j'ai défoncé 24, tête 7, roulant poids lourd mais sans classe, le C
Je déteste toujours quand une guerre cessait, je tue gentiment comme le Guy Sensei
Je suis dans le coup, 124 sur 7, fils de titan comme Elios et Sol
Je l'ai déjà ***, ma grande force est seule, et tout ce qui peut me gagner fort, c'est le sol
Cette année, cette année, c'est assez de parler, là préparez-vous
Je drague et frappe, je vais finir par les doigtés, par les trous
Je suis taré, je prends les paris, après je parais, j'arrête tout
Salé, l'assiette, la peau fait crade, allez, je crache, régalez-vous
Vous, ben, moi, tous les rappeurs à l'amande, on n'oubliera pas la balance
Wa, wa, pèse le poids dans la balance, je préviens du retour, non, non, non
Bien sûr les yeux pour le passage, tu sais l'amande, elle est salace
Si t'as la plume, j'ai le panache, un corps en sang dans le palace
Sinon pas de chance, sinon palace, hein
Mon épiglotte est une calage, prends le nécessaire et je m'arrache
Pourquoi tu parles et tu bavages, j'aime les p'tits culs et les fadas
Stylo est une lame de Damas, hein
Asseptisé dans une merde antibiotique, je suis à court, alors serment du cognac
Toujours entouré de fervents hypocrites, mon rap est l'opposé du serment d'Hippocrate
Tant qu'ceux déversent comme pétro dans le corail, aucune de leurs flèches ne me place dans le thorax
Point de ma plume et poisson sur le counaille, beaucoup trop confondant de la chance et le courage
Ben, moi, tous les rappeurs à l'amande, on n'oubliera pas la balance
Wa, wa, pèse le poids dans la balance, je préviens du retour, non, non, non
On ne peut croire à ces bus en tort, j'fous des coups de fer comme un bus en tort
Tout ce que j'ai, j'en veux plus encore, est-ce pour bientôt comme la puce dans l'corps
Je renais des cendres comme le phénix, hein, je mène en bateau comme un bus dans l'port
L'eau dans Milan comme la Vénus, hein, gardien de la boîte, il n'y a plus de pain d'or
Tu n'entendras pas, le vent se terre, même quand je le fais pas, je semble faire
Très peu de soeurs, mais j'ai 32 frères, tous convoités comme le trône de fer
Sors la bouteille, je dois prendre le verre, j'veux plus des miettes, j'veux la grande cagnotte
File mon visage sur l'écran canon, avant j'veux balancer du Grand Canyon
On visait le ciel, on a brisé l'Éden, ils te cracheront dessus si tu les aides
Pigeons agissent comme si c'était des aigles, je suis perdu comme la cité de Z
Tellement plus haut, je les ai satellisés, avant c'était rien mais c'était l'essai
Bientôt tu pourras me syntoniser, j'pors jamais loin quand j'vais 7 et le 7
Bang, wow, tous les rappeurs à la bande, on oubliera pas la balance
Wow, wow, pèse le poids dans la balance, j'préviens du retard à l'avance
Bang, wow, tous les rappeurs à la bande, on oubliera pas la balance
Wow, wow, pèse le poids dans la balance, j'préviens du retard à l'avance
Moi j'ai *** là pour le game, j'voulais montrer dedans mes podcasts
Par contre j'vais pas laisser ma place comme une conne en post-pass
Dernière bouteille de courvoisier à Brest, fini, j'fais nul, t'es comme Guest
Qui ***, qui ***, j'ai l'flot d'Brest, péris, péris, wow
Prends le virage comme le fait Satan, change ton visage pour des faits saillants
J'dois tout déplacer pour le siège vacant, j'me faufais l'endos comme un veste pas blanc
Trouver mon ballon mais c'était désert, connecte avec la terre si tu décèdes
Pieds dans le vide car en porte à faux, j'pec les portes à fond, mort à porte la faux
Lève ton menton pour l'appareil de l'air, j'ai le vent dans les voiles pour le marathon
J'attire la foudre comme un paratonnerre même si j'entends des voix quand je marche à l'ombre
J'fais creuser les trous comme le foursoyeur, ici c'est l'est il faut soyeur
Pense de gauche à droite gros wiper, toi t'as la sienne moi j'contrôle la peur
Mon zéro l'homme dans tes gros parleurs