Les mots s'emmêlent, s'emmêlent dans ma tête
Qui n'est plus digne d'être couverte d'un toit
Depuis le jour où j'ai vu naître La mort d'un amour tardif miroir
Le poids des mots,
le choc d'une photo Où je t'ai vu recouverte,
même pas d'un drap
Lui si beau et lancé en jambant Le
seul domaine où tu pensais être moi
Et de part en part,
je pars,
je crois De part en part,
je pars,
crois-moi
Alors, stop,
crois-moi
Le temps est venu pour moi De fuir sans être ému
Te voir sourire serait pire Mais je le vois,
tu pleures de me voir partir
Je sais peut-être que je n'ai rien compris
Tu tournes peut-être en live un film
Ta compassion,
mes jeunes pardons Sont certifiés comme autant de bides
Mais c'est dommage quand fête une
fête Se fait souvent aux enterrements
Tu pousses l'armoire,
tombe la photo Cette chape de plomb qui me brise le dos
Et de part en part,
je pars,
je crois De part en part,
je pars,
crois-moi
Alors, stop,
crois-moi
Le temps est venu pour moi De fuir sans
être ému
Te voir sourire serait pire Mais je le vois,
tu pleures de me voir partir
Le temps est venu pour moi De fuir sans être ému
Te voir sourire serait pire Mais je le vois,
tu pleures de me voir partir
Le temps est venu pour moi De fuir sans être ému
Te voir sourire serait pire Mais je le vois,
tu pleures de me voir partir