Tu vises loin comme si l'infini était à portée de main
Les lendemains,
moi je m'en méfie,
les défis ne me disent rien
J'économise une énergie que tu grilles avec frénésie
Tu te réussis comme par magie,
moi j'ai toujours joué le petit
Tout semble si facile quand c'est toi qui décide
Tes langues volubiles et tes gestes fluides
J'adore ton style,
mais parfois d'un amour perfide
Je t'aime,
je t'aime,
je t'aime,
mais tu m'énerves
Je t'aime,
je t'aime,
je t'aime,
mais tu m'énerves
Je t'aime, mais tu m'énerves
Je t'ai embut le nu pour laisser glisser sur ta peau
Les ombres de la rue et la caresse de l'air chaud
Tu me dis soudain que tes seins n'attendent que mes mains
Je fais semblant de rien,
un peu coincé, un peu lointain
Quand tes lubies défilent dans un tout billon d'un ride
Tout semble si facile,
j'envis de ta fougue intrépide
J'adore,
je suis jaloux,
je me sens flou et insipide
Je t'aime, je t'aime, je t'aime,
mais tu m'énerves
La la la la la
La la la la la la la
La la la la la
Et même si comme on dit l'amour conserve
Je t'aime,
je t'aime,
je t'aime Mais tu m'énerves
Oh Dieu c'est quel nouveau dilemme Tu me réserves
Je t'aime,
je t'aime,
je t'aime Mais tu m'énerves
Tu m'énerves !
La la la ...
Tu m'énerves !
La la la ...