J'n'ai jamais trahi l'honneur pour la paix du gain
J'ai jamais trahi les codes pour décevoir les miens
Je me demande pourquoi la fin est liée à mon teint
Si dans ce monde où l'on vit y'a-t-il vraiment une fin ?
J'avance à grande vitesse et je n'ai pas de fin
Je fais que mon chemin,
je m'en suis jamais plein
Et j'oublie pas tous ceux qui m'ont tendu la main
Juste pour pouvoir ensuite couper la mienne en fin
Parait-il qu'on les maudit,
papa m'a dit que nous sommes des incompris
Le paradis nous donne envie,
mais l'enfer n'est qu'à quelques pas de nos taisies
Pendant quelques secondes j'oublie c'qui se raconte,
on n'en reparlera
Et j'regarde les nuages,
avions et leurs sillages dans ma panaméra
Je laisse le monde tourner en rond et qui vivra verra
Et j'augmente le volume pour oublier ceci dans ma panaméra
Quelques années de cela je ne valais rien Tu
peux me juger mais au fond j'm'en balais rien
Les profs me voyaient comme un sombre galérien J
'étais juste visionnaire mais les gens voyaient rien
Suis-je important si j'me repose de par la geste ?
Mais l'esclavage mental fera de nous des chèvres
Mais dans ce monde tu sais y'a près moins rien
de simple J'une théorie je ne ferai pas de dessin
Parait-il qu'on les maudit,
papa m'a dit que nous sommes des incompris
Le paradis nous donne envie,
mais l'enfer n'est qu'à quelques pas de nos taisies
Pendant quelques secondes j'oublie ce qui se raconte,
on n'en reparlera
Et j'regarde les nuages,
avions et leurs sillages dans ma panaméra
Je laisse le monde tourner en rond et qui vivra verra
Et j'augmente le volume pour oublier ceci dans ma panaméra
Dans ma panaméra
Pendant quelques secondes j'oublie ce qui se raconte,
on n'en reparlera
Et j'regarde les nuages,
avions et leurs sillages dans ma panaméra
Je laisse le monde tourner en rond et qui vivra verra
Et j'augmente le volume pour oublier ceci dans ma panaméra