Revoir Paris
Parmi la foule des grands boulevards
Quelle joie inouïe d'aller rincer au hasard
Prendre un taxi
Qui va le long de la Seine
Et me revoici
Au fond du bois
De Vincennes
Roulant joyeux
Vers ma maison de banlieue
Où ma mère m'attend
Les larmes aux yeux
Le cœur content
Mon Dieu
Que tout le monde est gentil
Mon Dieu
Quel sourire
Mon Dieu
Quel sourire à la vie
Mon Dieu
Merci
Mon Dieu
Merci d'être ici
Ce n'est pas un rêve
C'est l'île d'amour que je vois
Le jour se lève
Et sèche les pleurs des bois
Dans la petite gare
Assez mal forts
Rappellent ces gens
Tous ces braves gens
De la Varenne et de nos gens
Bonjour la vie
Bonjour mon vieux soleil
Bonjour la vie
Bonjour mamie, bonjour l'automne vermeil, je suis un enfant, rien qu'un enfant, tu sais, je suis un petit français, rien qu'un enfant, tout simplement.
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